C’est sur le coup du 7h, je bois ma bière habituelle (une bière de soir) à l’angle d’une rue, c’est une terrasse. Je bois, je bois, soudain!! Une petite femme à l’autre trottoir, elle tombe par terre parce qu’elle marche. C’est le plus douloureux, son fiston, à peine il a 5 et 6 ans, il a vu ça. La femme va, elle se remet debout dépoué à regarder le genou et frotter des petit graviers ou on sait pas ce que c’est. On dirait que c’est triste mais pour cause, c’est très triste, surtout que c’est le fiston le plus douloureux car il est très tout petit.
C’est 7h au quotidien, j’ai consommé une petite bière pour souffler quand je finis à mon travail. J’avais trouvé un bistrot et à la terrasse. À trottoir, en face il avait une femme et son petit (c’est pas une fille, c’est un homme) et ils marchaient mais dans la dame tombe, ça glisse ou quoi?!! Je sais même pas pourquoi elle tombe celle-là, ça fait mal au coeur et son fiston il a mal au coeur, se voit d’ici à ma terrasse (environ 20 mètres). La femme est vétuste esthétiquement mais ça sert ma gorge cet incident. Elle met debout pour vérifier les pantalons et balayer une poussière. Le fiston, on dirait qu’il va pleurer, c’est triste.
Les cloches ont chanté, j’ai bien écouté et je compte 7h. Si je choisis à vivre au Kenya c’est compliqué de m’intégrer… on verra. J’ai attrapé une petite bière, c’est comme tous les soirs dépoué au travail. Ça se fait, c’est la terrasse, je suis bien à cette terrasse et je bois doucement la bière. En face, j’ai mon regard adapter sur une petite femme, elle et le petit, un enfant. Tous ses pas sont normaux sauf un pas et elle chute, sol… devant le regard d’un fiston. Le fiston, son coeur est décortiqué, c’est si triste. Sa maman redevient debout et elle tape le jogging, c’est pour jeter les bactéries d’un trottoir et elle contrôle l’articulation, tout est normalement mais ça reste triste.
J’ai craqué aux charmes d’une bière à la terrasse. Dans mon métier, il y a de la pression et après le métier, en coutume je vais à boire une mousse pour vider l’esprit de mon emploi parce que c’est le palier avant d’en aller dans la maison, pour venir dans mon logement je serai serein et je serai sevré de penser à la pression de mon bureau. Dépoué la route, à face c’est une épicerie comme boutique, il y a les fleurs et des poulets cuisent et les légumes devant la boutique. Une femme vient vers la boutique, c’est avec son fiston à la main et un sac, elle tombe pour cabosser son genou et elle est allongée dans le trottoir. Le fiston dit qu’il est triste par des gestes et de son silence… C’est très triste. La dame se réveille vite-vite et elle frotte la jambe, ça évacue la poussière et les petites pierres qui ont accroché au textile.
Je suis avec la bière, au dehors du café. Beau, il a pas un nuage, nous sommes à 7h et on dirait 5h c’est parce que au début d’un été c’est habituel ce sensation. Mon regard attrape des choses, des autres choses, je veux pas penser à mon métier, c’est tranquille et aimable. Je vérifie une maman et un autre, un enfant, ils marchent vers un shopping d’alimentation mais la maman entrupe un pied, c’est peut-être un tapis, c’est peut-être à un pot de fleurs et elle tombe par terre. Le petit, est 5 ans ou 6 ans, lui jette les larmes sur son museau mais la dame devient verticale, elle lave son genou à frotter-frotter la main. Dépoué, ils reculent et je ne peux plus les regarder tellement ils vont loin.
Une merguez vient vers un pigeon avec la descente et le vent l’aide pour cette activité. Le pigeon voit ne voit pas la merguez et elle roule et frappe les jambes d’un pigeon, il est bouleversé, il a regardé autour de lui et dapoué il grognonne la saucisse de A à Z, Hum! Miam! Miam!!!. C’est détendre, fini les nerfs à vif d’un boulot, c’est le soir, une terrasse, j’aime ça. Déambule ma pensée par-ici, par-là et dans ma vision une fille et un petit nourrisson marche, elle a 50 ans et le petit nourrisson est de 5 ans, c’est normal. La dame utilise une chute et le petite est très dramatique. Elle revient levée, La mère entortille les genoux, et un, et deux, et troisième fois et sa main pour écoper les ingrédients de pollution accrochés auprès des jambes dépoué quelqu’un critique et il rigole mais à moi, c’est NON!!!! NON, à cette activité de critique.
Je suis un familier de ce pub portugais grâce à moins des hipsters comme moi, c’est plus tranquille, ça gêne moins de rougir. J’ouvre l’entrée et je dis auprès d’un patron: « À tu me donnes une bière froide, je suis dans la terrasse! » Il dit qu’il va faire cette activité et je vais dire à peine « ok » mais, par dessus, il a un carolingien au coude sur le bar, il est alcoolique et dit « Et, tu mets pas une sodamie dans la bière froide, hein!! » et dépoé, il se rigole dessus et il toussa des fractionnés de niaque comme un convoi exceptionnel dans la gorge, presque il y a les fumées de cigarettes de son passé entre chaque wagon!!! Moi aussi je rigole au souffle de nez et s’accompagne du bruit que je contrôle pas c’est celui-là « hffuummm ». Je vais à table, une sélectionnée dans l’arrivée au pub et je reconnais que je laissais mon sac d’ordinateur direct en arrivant sur les chaises, ce sont des activités incroyables!!!… moi, aux habitudes, je suis trop effrayé quant à lui et qu’on le perde et/ou on le vole!! C’est une preuve que dépoé l’issue de travailler j’ai envie lâcher la prise, je m’aime bien dans ce coup mais je confesse que ça gueule si l’assistant ou la fiancée fait cette activité!!! J’emploie la position détenduse, j’ai pas au droit de penser en mes activités, c’est ma vocation de mettre mes énergies aux autres mais je sais que je suis quelqu’un, un puissant.
Ces extraits ont été sélectionnés dans un texte initialement édité en 2014 par les éditions LeMégot. Merci au Mégot, à Baptiste Brunello.